Alors pourquoi ne pas lancer le sujet ici.
J'ai écris un texte dans lequel j'ai essayé de définir la liberté. Je suis partis du principe que chacun avait un Droit naturel sur sa propre personne et que personne n'avait un Droit sur quelqu'un d'autre. Par exemple, A a un Droit sur sa personne mais il n'a aucun Droit sur B. De même B a un Droit sur lui mais n'a pas de Droit sur A. Il s'en suit que chacun a un Droit individuel naturel et ce Droit définis la liberté.
Le truk c'est que l'idée d'un Droit individuel n'est pas nouvelle, c'est le fondement de la pensée libérale: le Droit de propriété.
Par exemple, A a un Droit sur lui et il prend une pomme dans un arbre, il a un pouvoir naturel sur la pomme, un Droit Naturel. Pour les libéraux le Droit que A éxerce sur la pomme est un Droit de propriété, la pomme est la propriété de Droit de A. Etre propriétaire ca veut dire avoir la possibilité d'exclure les autre de l'utiliser, A peut interdire à B d'utiliser la pomme. Ca veut aussi dire que je peux être propriétaire de plusieurs choses à la fois, ca veut dire que le Droit de propriété c'est le début du capitailisme.
Pour moi le Droit de propriété n'existe pas (si vous le demandez je m'expliquerais mais y a pas besoins pour l'instant). Le seul Droit qu'on ai sur la pomme (ou sur quoique ce soit) c'est un Droit d'utilisation. A prend une pomme et la laisse de côté (il ne l'utilise pas) alors il perd son Droit dessus et B peut arriver pour utiliser la pomme comme il veut. Ca veut dire que le Droit d'utilisation met fin à la propriété et au capitalisme. interessant non?
Je résume vraiment vite fait mais qu'en pensez vous? Le truk c'est que ca laisse place à des actions, une lutte parfaitement légitime et ca me fait germer pas mal d'idées. La première c'est d'aller récupérer la surproduiction des paysants qui détruisent le surplux à causes des directives européennes qui les y obligent (je remets pas en cause les paysants qui sont pris au piège) et d'aller redistribuer ces richesse inutilisées à des assoc où à des gens qui en ont besoins (un peu comme la marche du sel).